À beau mentir, qui vient de loin, nous enseigne le dicton.
Plus le temps passe, plus le masque enfilé par l’imposteur tombe et, d’une déchéance pathétique.
Depuis quelques temps, nous constatons avec stupéfaction, les interventions en myriades de Mamadou Sylla dans les médias pour jeter son dévolu sur le Président du PEDN SEM Lansana Kouyaté. Faudrait-il encore lui rappeler que celui-ci est le prochain président de la République.

Mamadou SYLLA, comme c’est de lui qu’il s’agit, ce tartufe d’une pétaudière engendrée de forceps nonobstant la vie des patriotes s’érigeant contre la dictature rampante d’un régime aux abois, devient dorénavant sourd et aveugle. Il s’attaque à tout sur son passage. Personne n’est à l’abri des agissements dévergondés de ce scélérat de la République. Qu’il soit jeune ou vieux, homme ou femme, religieux ou athée, intellectuel ou inculte, pourvu qu’il montre son désaccord à son fallacieux titre de chef de file d’une opposition modulée à souhait. Telle une fauve avide, il sort de son gond pour tenir des galimatias et proférer des accusations alambiquées. Sens dessus-dessous.
Ah! Si le monde n’était pas à l’envers sous les cieux de notre chère particulière République, un Monsieur de cet acabit n’aurait de demeure qu’au plus tréfonds des geôles du pays en lieu et place de certains patriotes qui y croupissent injustement.

Cette fois-ci, la mission pour laquelle il a été commise s’est heurtée à une palissade infranchissable. Qu’il sache que cette manière de faire la politique en calomniant sans cesse ou racontant des balivernes décousues sur des personnalités respectées et respectables dans l’espoir de faire plaisir à un tiers est dévolue. A force de s’y prêter à ce sujet et surtout de se faire passer de l’acteur d’un film dans lequel il n’était qu’un simple figurant en réalité, a fini par blanchir certains qui portaient le fardeau de plus d’une dizaine de mensonges éhontés. Toujours la manie de se donner le poids d’un éléphant quand il n’a même pas celui d’un cabri en réalité.

Des interventions truffées de mensonges et d’incohérences notoires. Si le ridicule pouvait tuer, dans ce pays personne ne serait en vie.

Excellence Monsieur le Président du PEDN, du haut de cette tribune, je vous demande humblement de ne pas répondre à ce soit disant chef de file, comme vous même l’avez qualifié. Jamais, il ne se servira de vous pour s’offrir ce qu’il ne mérite guère. D’ailleurs, le faire, c’est de lui donner de l’importance.

Monsieur Lansana Kouyaté, vous demeurez le seul invaincu sur l’échiquier politique national. Voilà ce qui l’irrite tant.
Quelle qu’en soit la durée de la nuit, le jour finira par se pointer.

Voyons voir la suite.

Oumar Djiguiné Kallo

Combattant de l’Espoir